Caroline Lamarche vous répond.
Il y a, dans vos textes, un souffle libre, lancé sur la page sans regarder en arrière. Comme si nous étions proches du moment où le monde va changer, où il va prendre une autre couleur : celle du bonheur, que tantôt vous nommez au présent, tantôt vous appelez de vos vœux. Il y a, en même temps, chez vous, une conscience de la fragilité, de la solitude, de l’entraide nécessaire. Et une brassée d’interrogations. Mais ce qui domine, c’est le mouvement, le rythme, l’énergie qui résiste aux difficultés (...)