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Propositions d’écriture de Roberto Ferrucci

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vendredi 17 avril 2020
par Roberto FERRUCCI

Propositions d’écriture de Roberto Ferrucci

PROPOSITION N°1

Futur

On se pose tous la question de l’après : après le confinement, après la fin des contaminations.

Mais ce que l’on entend dire le plus, c’est qu’on aimerait faire comme avant : travailler comme avant, faire la fête comme avant, etc. Mais le futur, après tout ça, pourra-t-il vraiment être comme avant ?

TEXTE À LIRE

Ce passage extrait du merveilleux roman Pereira prétend d’Antonio Tabucchi (traduction de Bernard Comment, Ed. Christian Bourgois, 1995) est d’une formidable actualité pour vraiment faire l’effort de lancer nos esprits vers le futur, premier mot clé que je vous tends.

Alors cherchez-le, répliqua le docteur Cardoso, comme je vous l’ai dit auparavant, cherchez-le, doutor Pereira, c’est un jeune, il incarne le futur, vous avez besoin de fréquenter un jeune, même s’il écrit des articles qui ne peuvent pas être publiés dans votre journal, arrêtez de fréquenter le passé, cherchez à fréquenter le futur. Quelle belle expression, dit Pereira, fréquenter le futur, quelle belle expression, cela ne me serait jamais venu à l’esprit.

PROPOSITION N°2

Solidarité

Le métier de médecin durant les semaines qui viennent de s’écouler, a complètement changé. Le rôle que le médecin avait dans nos vies et dans notre imaginaire a été bouleversé.

Comment puis-je le raconter aujourd’hui ? Comment remercier aujourd’hui le travail admirable de tous les soignants à travers une nouvelle ?

TEXTE À LIRE

Pour illustrer cela, je suggère un passage très actuel du roman Peste & choléra de Patrick Deville (Seuil, 2012), où Alexandre Yersin parle de son idée du métier de médecin. Le mot clé est solidarité.

Tu me demandes si je prends goût à la pratique médicale. Oui et non. J’ai beaucoup de plaisir à soigner ceux qui viennent me demander conseil, mais je ne voudrais pas faire de la médecine un métier, c’est-à-dire que je ne pourrais jamais demander à un malade de me payer pour les soins que j’aurais pu lui donner. Je considère la médecine comme un sacerdoce, ainsi que le pastorat. Demander de l’argent pour soigner un malade, c’est un peu lui dire la bourse ou la vie.

Messages

  • La vie en ce moment...

    En ce moment, la nature reprend ses droits
    pendant ce temps de confinement
    Elle devient plus belle à des endroits
    sans pollution en ce moment
    Les feuilles vertes grandissent et se multiplient
    pendant que des gens meurent du virus
    Le monde se déplie et se plie
    sous la force du virus
    j’espère qu’après le monde polluera moins
    pour que l’avenir soit autre
    que nos voitures circuleront moins
    que nos vies soient dans nos mains et celles des autres

    23 avril 2020
    Antoine B., élève de 6e, collège de Luzech (Lot)

  • Tiens, comme c’est drôle ! Est-ce cette semaine que j’ai écouté cette masterclass avec Antonio Tabucchi ou la semaine dernière ? Je ne sais plus, le temps se dilue. C’était une fin de nuit sur France Culture, l’invité était Didier Bezace et c’est lui qui voulait réentendre Tabucchi, Tabucchi qui parlait de Pereira et moi, tôt levée qui l’écoutait. Alors, "arrêter de fréquenter le passé" ? Je ne pourrai pas (mais voyez je l’écris au futur). Sans lui je n’aurais pas rencontré Tabucchi, Didier Bezace ne me parlerait plus et je n’aurais pas pu noter dans mon agenda, seul pour l’instant à "fréquenter le futur", qu’après le confinement il faudra que je lise "Pereira prétend".

  • Maintenant imagine toi dans le futur->http://www.onpeuttoujours.ac-versailles.fr/?Propositions-d-ecriture-de-Roberto-Ferrucci]

    Tu fais quoi ? Tu te détruis
    « J’écris, je pense, je bois, je fume »
    Le temps se chargera de toi
    Tu culpabilises et nous culpabiliserons tous
    Observe le monde, apprends
    Quelque chose me dit qu’il reste de l’espoir
    Je t’apporterai des coquelicots.

    Où va-ton ?
    Viens courir, nous sommes invisibles
    Mais ils vont nous voir
    Ils sont dans une cellule
    Ils s’éteignent comme une fleur qui fane.

    Qu’est-ce que tu fais ?
    Il manque des pages
    Elles disparaissent comme les nuages dans le ciel
    Tu es pure comme une fleur de lotus
    Ça s’abime ça m’est égal.

    Maintenant imagine toi dans le futur
    Dans une civilisation détruite par l’homme
    Là où les missiles nucléaires ont tout fait disparaître

    Que ferais-tu ?
    Tu te dirais : « Je survivrai par tous les moyens possibles ! »
    Mais nous savons tous deux que tu ne pourrais pas.

    Les radiations te tueraient
    Et même si tu survis, comment ferais-tu ?
    Mais il sait, il a le savoir
    Tu sais, il sait, je sais...
    Ce jour pourrait être dans une semaine ou même demain
    L’amour est la seule chose qui nous maintient en vie
    Sans cet amour le monde mourrait en très peu de temps.

    C’est ainsi que la rose fana...

    Yann – élève de seconde 9 au lycée Jean Vilar de Plaisir

  • Poème proposé par Désignée, Lycée Jean-Jacques Rousseau, Sarcelles

    Futur,

    Il est temps de se poser les bonnes questions...
    Bon, par où commencer ?

    16 Mars : début du confinement.
    Le jour se lève, la nuit tombe.
    Les jours défilent, j’ai perdu un proche.
    Ma famille est brisée, je suis de même.
    Ma vie n’a plus aucun sens, mon monde s’écroule.
    Pourquoi continuer à vivre ?
    J’ai plus envie de souffrir,
    Plus envie de pleurer.
    J’ai plus envie d’être meurtrie,
    Plus envie de me battre.
    Que faire ?
    Lire un livre pour me changer les idées ;
    Écouter de la musique pour faire passer le temps ; Dormir pour ne pas penser.
    Je n’y arrive pas,
    MAIS je ne perd pas espoir ;)

    25 Avril : le temps de se reprendre
    Chers camarades, je viens vous annoncer une bonne nouvelle.
    Maintenant, tu n’a plus le temps d’être triste, de pleurer ou de souffrir.
    Regarde la vie autour de toi, tu as vu ?
    Tout n’est pas gris.
    Tu es belle, intelligente, charismatique.
    Pourquoi s’arrêter maintenant ? Le chemin est encore long.
    Tu as plein de choses à accomplir.
    Tes rêves, tes projets, tes voyages n’ont pas encore abouti.
    ALORS, sois dans la joie et vis ta meilleure vie. SANS rien regretter.

  • Le futur, ce moment "d’après maintenant"
    Ce moment d’après, d’après le confinement,
    Ce moment, ou nous pourrons tous "sortir."
    Mais allons nous tous "sortir" ?
    Les règles de confinement sont les même pour tous.
    Mais nous les vivons différemment, et nous réagissons,
    Différemment.
    Certain verrons ce futur comme une libération d’un moment douloureux,
    Lourd d’émotions. Mon futur, celui que je vois et que j’appréhende est simple, clair.
    Ne pas sortir ne m’empêche pas de vivre, je n’ai pas ce besoin obsessionnel de sortir,
    Mais pouvoir ne serait-ce que sortir, quand je le souhaite, ce désir même rare
    Serait exaucé. Sortir dehors,
    loin du foyer,
    Retourner vers la famille, vers ses activités
    Autrefois pratiquées.
    Chaque jour qui passe, mon futur se dessine,
    Et je sais que, quand mon futur sera mon présent, alors je passerai d’une vie grisâtre
    A une vie plus éclatante tendant presque vers l’extraordinaire,
    Quelque chose,
    Qui maintenant encore n’est qu’un futur approximatif,
    Le fait de simplement,
    pouvoir sortir.

  • Texte proposé par Adrien, élève de BTS, Lycée Louis Jouvet, Taverny (95)

    Maintenant que faire à l’extérieur lorsque que quelqu’un tousse et paraît malade , que peut-on en penser ? Est-il encore là ?
    Ce virus qui a fait tant de peine a de nombreuses personnes dans le monde entier. Même ceux qui le combattaient avec le plus grand courage qu’il est possible d’avoir , risquaient leurs vies pour sauver celles des autres.
    Ce sont des héros, mais certains de ces héros ne sauront pas si nous avons gagné cette guerre ou pas.
    Il ne faut pas les oublier et continuer à les remercier car un jour ce seront peut être eux qui vous sauveront.

  • Texte proposé par Maxime, élève de BTS, Lycée Louis Jouvet, Taverny (95)

    Nous mettrons du temps avant de nous en remettre, la méfiance envers les inconnus risque de rester encore quelque temps, cette période va nous marquer sans doute à jamais. Les choses simples de notre quotidien sont aujourd’hui les moments préférés de notre journée. Ce confinement nous faits réaliser que notre vie ne tient pas à grand-chose et qu’il serait bête de ne pas en profiter. Je veux alors ne plus réfléchir et faire ce que j’aime. Profiter plus de nos proches, être coupés d’eux pendant cette longue nous a fait comprendre à quel point on s’apprécie. La vie petit à petit reprend son cours, elle ne s’arrête pas, elle nous offre une deuxième chance il nous faut la saisir, arrêter de vivre dans l’ignorance, soyons actifs, ne faisons pas les mêmes erreurs que le passé. Vivre dans le présent sans oublier ses erreurs du passé.

  • Texte proposé par Théo L, élève de BTS, Lycée Jean Vilar, Plaisir (78)

    Depuis maintenant plusieurs mois nous sommes en face d’un virus mortel, et cela concerne toute la population. Ainsi, pour répondre à cette crise sanitaire, nous vivons en confinement, certains avec leur famille, d’autres avec des amis. Pour certains, c’est avec la solitude qu’ils vivent. Mais la question que se pose le monde entier, ce n’est pas de savoir comment on va sortir de cette situation, ni quand, c’est surtout de savoir « Comment vivre après cette situation extraordinaire ? Les choses peuvent-elles redevenir comme avant ? »

    Plus rien ne sera « comme avant » car durant cette période, nous avons tous été plus ou moins face à la mort (la nôtre ou celle de proches) et cela change notre vision. A tout jamais, nous ne vivrons plus pareil. Chaque personne vivra son « après » différemment. Cela variera selon les populations et selon le degré de contamination par le virus. Ce qui est sûr, c’est que chacun voudra vivre comme si demain n’existais pas. En revanche, certaines choses ne s’effaceront jamais. Ce sont les dégâts laissés par tout ça. L’économie, les services sanitaires, les familles, rien n’en sortira indemne, cela restera comme une cicatrice à jamais gravée dans la mémoire des habitants de la planète.
    Ainsi, comment vivre comme avant après tout ça ?
    La réponse que je donnerai à cette question est que l’on ne pourra pas vivre comme avant. Il y aura simplement une vie avant la crise et une vie après.
    Après tout, peut-on vivre comme avant après une blessure qui nous laisse avec une cicatrice que l’on ne peut effacer ? Doit-on apprendre à vivre avec ? Là est la véritable question.

  • Texte proposé par Ruben, élève de BTS, Lycée Jean Vilar, Plaisir (78)

    Le temps est l’une des choses que vous ne pouvez pas changer, mais avec le temps, les choses changeront. Surtout quand nous, les mortels, sommes confrontés à un problème d’ampleur mondiale. Depuis plusieurs mois, nous sommes exposés à un virus extrêmement contagieux et létal qui affecte l’humanité. Par conséquent, pour combattre cette crise sanitaire, nous sommes en train de vivre des jours difficiles. En ce moment, nous ressentons la peur, l’angoisse pour nos parents, pour nous-mêmes face à ce redoutable et imprévisible virus. Coupés du monde, nos jours se succèdent et se ressemblent. C’est comme si le temps n’existait plus. Cette période est encore plus difficile à vivre lorsque l’on habite à plusieurs dans un appartement exigu. On cherche toujours à se distraire, à sortir de cette solitude qui nous pousse à la folie et nous entraîne dans un cycle répétitif. Ce même rythme au quotidien ne doit pas nous décourager. En effet ce sacrifice nous amènera à un avenir meilleur. Nous devons être responsables, penser en ce temps de crise à nos parents et amis afin de les protéger. Mais la question que le monde entier se pose est non seulement de savoir comment et quand sortir de tout cela mais surtout si nous pourrons garder nos habitudes.

    Malheureusement, ce fait restera gravé à jamais dans nos esprits. Dorénavant, rien ne sera plus pareil car les erreurs commises serviront de preuve pour gagner en maturité. Ainsi, nous aurons appris que rien n’est plus important que la vie humaine. Parfois, on oublie le personnel soignant (médecins, infirmières et aides-soignants) qui se met tous les jours en danger à vouloir sauver des vies sans pour autant être remercié. Cet esprit solidaire sera fondamental si nous souhaitons sortir de cette pandémie. Cependant, il y aura toujours des personnes qui succomberont à la propagation du virus. La fin de ce phénomène nous apportera une nouvelle perspective d’avenir. Certaines valeurs auront plus d’impact sur notre vie au quotidien. La plupart du temps, ce qui est considéré comme acquis n’a pas la même valeur. Il suffit que l’on sente le manque pour s’en rendre compte. D’un autre côté, les séquelles psychologiques et physiques persisteront à jamais dans nos mémoires. Les effets négatifs s’abattent sur divers secteurs d’activité tels que : l’économie, la santé, la vie sociale etc… Personne ne sortira indemne de cette crise. Cette cicatrice perdurera à jamais dans notre cerveau. Alors, comment envisagez-vous vivre dans le futur ? Hélas, il sera impossible de vivre comme avant. L’insouciance d’un possible retour du virus nous freinera, quoi que l’on fasse. Après tout, nous pouvons tout de même continuer à vivre avec cette blessure. Peut-être même qu’elle nous rendra plus forts, nous aidera à surmonter d’autres obstacles qui surgiront devant nous. Une chose est sûre, cette solitude qu’on éprouve en ce moment nous servira d’exemple pour inventer un monde meilleur !

  • Texte proposé par Moshin, élève de BTS, Lycée Jean Vilar, Plaisir (78)

    Après le confinement

    Aujourd’hui, le monde est touché par un virus. Ce virus a confiné le monde entier chez lui. Pour sortir, pour le moindre fait et geste, il faut avoir une très bonne raison. Toutes nos habitudes sont oubliées. A part aller au travail et faire les courses le plus près de chez soi, on ne peut plus rien faire. Mais cela est pour notre bien, pour que le virus ne se propage pas sinon cela virera à la catastrophe. Le virus se propagera, il y aura encore des contaminés et de très grandes chances d’avoir plus de morts. C’est pour cela que tous ces dispositifs et règlementations sont mis en place.
    On a tellement pris l’habitude de ce nouveau mode de vie que certaines personnes ont oublié leur vie d’avant. Tout le monde veut reprendre la vie d’avant mais ce n’est pas plus simple.
    Après le confinement et la contamination, la vie normale reprendra crescendo. Cela va prendre un certain temps, peut être énormément de temps.
    Tout le monde voudrait que ça soit immédiat, qu’on reprenne la vie comme avant : aller au travail tranquillement, sortir avec nos amis, aller au restaurant, faire les boutiques, aller au cinéma, se promener tranquillement sans se faire contrôler par la police sans aucune raison valable.
    Cette vie peut être compliquée car cela va prendre du temps, ça se fera petit à petit. Peut-être que rien ne sera comme avant. Tout sera psychologique, même s’il n’y aura plus aucun cas de contamination. Le monde n’aura plus confiance. Il y aura encore le virus dans la tête des personnes, même s’il n’y a plus rien. Nous nous laverons autant les mains que maintenant, nous ferons autant attention que maintenant, nous hésiterons à aller au restaurant, à faire les boutiques, nous éviterons tout rassemblement de personnes. Cela durera peut-être toute la vie car cela aura fait un énorme dommage mental. C’est pour cela que pour certaines personnes rien ne sera comme avant. Personne ne voudra que cela se reproduise ; aucun risque ne sera pris. Après tout cela, les choses reprendront lentement, petit à petit. Des personnes n’y arriveront pas car cela sera gravé dans leur mémoire.
    Avec le temps, tout redeviendra comme avant, sauf exception.
    Les modes de vie, les habitudes reprendront, mais les petites sorties prendront certainement énormément de temps.
    Tout réouvrira petit à petit, les restaurant, les magasins, les fast Food réouvriront, avec le temps, mais cela n’empêchera pas les personnes qui sont traumatisées à être inquiètes, à rester confinées de son plein gré alors que le confinement sera fini depuis un petit moment.
    Peut-être, au fond, que rien ne sera comme avant. Cela dépendra des mentalités de chacun.
    A chacun de faire ses propres choix pour que cela redevienne comme avant, ou pas.

  • Texte proposé par Aïna T., élève de 1re STMG, Lycée Marie Curie, Versailles (78)

    Depuis le début du confinement, chacun d’entre nous a opté pour un rythme différent à la maison. Certains se croient encore en vacances en passant leurs journées dans leur lit à jouer aux jeux vidéo et à mettre leurs devoirs de côté. Ce n’est pas une habitude à prendre car à la fin du confinement, certains se sentiront perdus et regretteront de ne pas avoir travaillé durant des semaines chez eux notamment pour les examens mais aussi pour soi-même. La rentrée est une étape que tout le monde redoute. La question que tout le monde se pose en ce moment est « Est-ce que tout redeviendra comme avant ? ».

    Nous savons tous qu’il est impossible que tout redevienne comme avant en si peu de temps. Il est beau de rêver mais il faut voir la vérité en face car nous ne serons jamais quoi qu’il arrive à l’abri de ce virus pendant de nombreuses années. La vie que nous avions auparavant est très différente de celle qui nous attend. Méfions-nous de tout car aucun d’entre nous ne connait le jour où il partira définitivement et même si le jour se produit, nul ne sait s’il reviendra. Il serait beaucoup trop risqué de rouvrir les établissements scolaires mais nous n’avons malheureusement pas le choix car beaucoup d’élèves ont des déficiences scolaires.

    Nous n’avons pas le choix d’avancer mais prudemment car nous ne savons pas demain sur quoi nous pouvons tomber. La vie est remplie de mystères mais ce virus nous empêche d’être heureux. Il sera toujours dangereux à la fin du confinement de sortir de chez soi et de faire des regroupements car cet évènement ne veut en aucun cas dire retrouver sa vie d’avant. Tout le monde est dans l’obligation de rester sur ses gardes et de protéger ses proches parce qu’une personne contaminée peut en contaminer d’autres très facilement et rapidement. Nous devons tous nous comporter en adulte et faire les bons choix pour nous tous. Les après-midi shopping, cinéma en famille ou bien les sorties entre amis ne seront pas nos priorités pour le moment. De plus, cela m’étonnerait fortement que la réouverture des monuments historiques aura lieu prochainement car ces endroits regroupent des milliers de personnes par jour.

    Rien ne pourra redevenir comme avant, c’est pour cela que nous devons tous ensemble accumuler les efforts en espérant que les progrès ne cessent d’évoluer positivement et continuer de faire vivre l’imagination des enfants.

  • Texte proposé par MELANY, élève de 3ème, Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    L’inconnu fait souvent peur. Mais doit-on vraiment le craindre ? Ou bien ce futur aussi mystérieux soit-il, pourra-t-il nous révéler de meilleures choses que celles auxquelles nous nous attendions ? On se demande tous, si la situation va changer ; si nous allons changer…Tant de questions auxquelles nous ne pouvons répondre. Car ce qu’il faut dire c’est que nous ne pouvons pas voir le futur, on peut y réfléchir bien-sûr, mais pas le voir, c’est impossible. Nous pensons tellement à sortir de chez nous, qu’on en rêverait presque.
    Et pourtant à peine aurons-nous mis un pied dehors que chaque infime décision, deviendra dilemme. Chaque choix nous mènera vers une infinité de futurs différents les uns des autres et qui pourtant, tous réunis, forment un seul et même futur, nôtre futur.
    Alors, si vous attendez une réponse de ma part, ou un simple avis. Ma réponse est « oui », oui les choses vont changer, oui les gens vont changer, car nous devons changer.

  • Texte proposé par AMBRE, élève de 3ème - Collège J. Adam, Gif-sur Yvette

    L’après confinement c’est une bonne question ! Selon moi, l’après confinement ne sera pas pareil car on va tous penser au fait qu’on a été confiné, on va tous en parler, mais au bout d’un moment le sujet va se tasser et les gens vont passer à autre chose.
    En ce qui concerne le travail, je pense qu’on mettra un peu de temps à reprendre les cours car on aura plus de mal à se concentrer. Pour l’instant, on fait « l’école à la maison » donc on peut se faire notre propre emploi du temps et on gère les cours comme on veut.
    Je pense qu’après le confinement, certaines personnes vont faire des fêtes pour retrouver leurs amis et pour essayer de « rattraper » tout le temps où on ne s’est pas vu pendant le confinement.
    Pour ma part, je me demande surtout si je vais pouvoir partir en vacances avec mes amies. L’après confinement sera comme un nouveau départ ou comme si on allait redécouvrir la vie et la sociabilisation.
    Je pense que si on n’avait pas de téléphone ce serait compliqué de communiquer avec nos familles et nos amies.
    Je pense aussi à la rentrée et je me pose plein de questions du style « Comment seront nos cours ? » « Est -ce qu’on va faire des groupes pour aller en cours ? » « Est-ce que du coup on pourrait être avec nos amis ? ».
    On parle aussi beaucoup du port d’un masque : à priori, il faudra porter ce masque dès que nous serons à l’extérieur de chez nous. J’ai dû mal à m’imaginer à devoir parler avec mes amis en portant un masque !
    Comment sera notre vie de demain ? Combien de temps tout ceci durera ? Retrouverons-nous le niveau de liberté que nous avions avant ?
    J’espère que les chercheurs trouveront vite un vaccin face à ce virus.

  • Texte proposé par ROMAN - élève de 3ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Je pense qu’après le confinement nous allons mettre plusieurs mois à nous réhabituer à notre nouveau mode de vie, car nous allons devoir continuer à faire les gestes barrière.
    Je pense que les fêtes vont mettre un peu de temps à se mettre en place car tout le monde sera encore dans la peur. Je ne sais pas si le futur va être comme avant parce que les gens ne seront pas encore confiants à cause du coronavirus.
    Le Coronavirus a montré que les gens s’aidaient les uns les autres plus qu’avant. J’espère que cette solidarité va continuer. En résumé je pense que le monde de demain sera différent mais la vie continuera et au fur et à mesure le monde reprendra son rythme de vie.

  • Texte proposé par AMBRE B - élève de 3ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Je pense que suite au confinement, le cours des choses de l’avant confinement va être différent tout en étant similaire à la fois. Je pense que certaines personnes vont avoir une grande prise de conscience qui va les faire réfléchir sur ce qui se passait avant et vont essayer d’améliorer leur quotidien, leurs habitudes, etc.
    D’autres qui n’auront pas forcément cette prise de conscience mais quand même une petite, vont faire de petits efforts pour eux et pour les autres mais vont reprendre leurs anciennes habitudes.
    Et ceux qui ne vont avoir aucune prise de conscience et vont prendre à la légère la situation actuelle, vont avoir leur mode de vie qui restera le même, peu importe ce qu’il se passera.

    En générale, je pense que rien ne va se faire directement mais progressivement, petit à petit. Les commerces ne vont pas tous rouvrir d’un coup je pense que les commerces les moins « utile » vont voir leur ouverture retardée.

  • Texte proposé par CHARLOTTE - élève de 3ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    L’après confinement.

    30 jours écoulés…30 jours se sont écoulés depuis la fin du confinement. En définitive, même dehors j’ai l’impression d’être confinée !
    Je me souviens que lorsque la fin du confinement a été annoncée, j’étais heureuse, pleine de joie, je me voyais déjà dans les bras de ma meilleure amie ! Mais, la réalité a été tellement différente. Oui je l’ai vue, à travers mon masque et à un mètre d’elle !
    Tout, tout notre quotidien, a été chamboulé, nos routines ont été déroutées ! Les voisins qui aimaient tant se serrer la main le matin, maintenant, préfèrent s’esquiver sans un mot ! Les artisans qui étaient si fiers de montrer leur produits frais et faits avec amour, n’osent plus exhiber leurs marchandises devant les clients !
    Tout cela me dégoutte, il n’y a plus une once de solidarité…Plus rien ! Il ne reste que des gens qui se fuient ! Des gens qui se méprisent ! Des gens qui se méfient des autres ! Tout cela, toute cette méprise, à cause de ce virus !
    Depuis la sortie du confinement, je me sens triste, je me sens seule. Mes amis me manquent, je les vois, mais je veux les serrer dans mes bras… Mon masque m’empêche de respirer, l’odeur du gel hydro alcoolique me détruit les narines.
    Je déteste voir ce monde comme ça, sans émotions mis à part du mépris et de la méfiance, sans joie...Je donnerai beaucoup pour retrouver ma vie d’avant, retrouver mes habitudes, mes sorties avec mes amis, je donnerai beaucoup pour cela !

  • Texte proposé par MATHILDE - élève de 3ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    A la fin du confinement, de nombreuses personnes voudront faire comme avant : faire la fête, aller au restaurant, se prendre dans le bras ...etc. Certaines personnes voudront même oublier cette sombre période. Mais ces personnes, en oubliant ce qui est arrivé, ne prendront aucune précaution et feront peur aux autres.
    D’autres auront peur : peur d’approcher leurs semblables, peur d’aller en ville, peur de tout. Ils changeront alors leurs modes de vie : ils essaieront de ne plus se regrouper et ne prendront donc plus l’avion que si nécessaire, ils ne feront plus de croisière.
    Beaucoup d’entreprise comme les restaurants, les hôtels, les théâtres, les organisateurs de festival vont fermer car elles auront perdu trop d’argent avec le confinement. Le chômage risque alors d’augmenter et les gens vont alors avoir peur de perdre leur emploi.
    Par ailleurs, les sociétés vont s’apercevoir que le télétravail leur est bénéfique et la façon de travailler va donc changer.
    Pendant le confinement, on s’est aperçu qu’on était très dépendant des autres pays pour des choses absolument vitale telles que les médicaments, les flacons de gel antibactérien, les masques ...etc. On va donc à mon avis ramener la production des produits essentiels en France et cela réduira le chômage.
    Enfin, le confinement a eu un effet bénéfique sur l’écologie : on a de nouveaux entendu les oiseaux chanter, les animaux sont revenus dans nos villes et c’était beau. On a vu le ciel clair, sans pollution due aux usines, aux voitures, aux avions. On a aussi remarqué qu’on pouvait très bien se nourrir sans aliments produits hors de France, qui viennent par avion ou par camion, ce qui augmente la pollution atmosphérique. Je pense donc que dans chaque pays, les habitants vont changer leur mode de déplacement et leur manière de consommer, de façon à ce que notre planète soit plus belle et plus vivable.

  • Texte proposé par ROMAIN G, élève de 3ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Un jour, les chercheurs et les médecins trouveront le vaccin contre le coronavirus. Ce jour-là, on pourra aller faire la fête, voir ses amis, sa famille… mais on gardera toujours un souvenir de cette événement mondial, du courage des médecins, des morts qu’a causé l’épidémie. A cause de ce virus il y a eu beaucoup de morts : plus de 22 000 rien qu’en France à ce jour. Parfois, je repense à mon ancienne vie : quand j’allais au collège, quand je faisais du rugby en club, quand on pouvait sortir faire du football avec ses amis…
    Après le confinement, on pourra refaire toute ses activités mais peut-être différemment.
    Pour respecter la distanciation sociale : On pourra retourner au collège mais surement sous certaines conditions : des classes en demi-groupe, il n’y aura peut-être pas de transport en commun, on devra avoir une distanciation sociale avec ses amis, on devra peut-être porter un masque, la cantine sera surement fermée. En sport, on ne pourra pas faire de sport collectif tout de suite, en revanche je vais pouvoir continuer à faire du sport à titre individuel. Avec mes amis on ne pourra peut-être pas partir en colo. Pendant les vacances on ne pourra peut-être pas partir à l’étranger
    J’espère que le déconfinement se fera avant les vacances d’été, comme ça on pourra partir en vacances et on ne restera pas enfermé pendant tout l’été. On pourra peut-être aller voir nos grands-parents ou peut-être pas (comme les personnes âgées sont plus sensibles, ils seront peut-être confinés plus longtemps). Si tous se passe bien on pourra revoir nos amis le 11 mai mais ce n’est pas encore sûr.
    Pour l’instant on est dans l’inconnu, on ne sait même pas si on pourra revoir nos amis avant de partir au lycée. Il y aura peut-être une deuxième vague de confinement et donc on sera reconfinés.

  • Texte proposé par JEREMY - élève de 3ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Dans le futur…
    Je pense qu’après le confinement, le cours des événements avant le confinement sera différent et similaire. Je pense que certaines personnes auront une grande prise de conscience qui les fera réfléchir à ce qui s’est passé avant et essaieront d’améliorer leur quotidien, leurs habitudes etc.
    D’autres qui n’auront pas forcément cette prise de conscience feront un effort pour eux-mêmes et pour les autres, mais ils reprendront leurs anciennes habitudes. Ceux qui ne seront pas conscients de la situation actuelle n’en tiendront pas compte, et leur mode de vie restera le même quoi qu’il arrive.
    En général, je pense que rien ne se fera directement, mais progressivement, progressivement. Toutes les entreprises ne seront pas rouvertes. Je pense que les entreprises les moins "utiles" ressentiront le retard de l’ouverture.

  • Texte proposé par ROMAIN - élève 3ème - Collège J.Adam, Gif-sur-Yvette

    Je pense que dans le futur, on aura tous un souvenir mauvais et regrettable de cette période que nous sommes en train de vivre. Malgré tout, le confinement nous a appris à être solidaires les uns envers les autres et que tout pouvait arriver à n’importe quel moment.
    Quand le confinement sera fini, nous ressortirons différemment que nous sommes rentrés au début. En effet, je pense que nous serons tous un peu traumatisés par des poignées de main, des bises etc. Pour ce qui est des fêtes et tout le reste, je pense que les gens voudront en faire pour se retrouver, mais il ne faut pas oublier que quand nous serons autorisés à sortir, il ne faudra pas croire que tout est fini car il faudra toujours respecter les gestes barrières.
    Mais peu à peu nous reprendrons notre rythme de vie qu’on avait le confinement.

  • Texte proposé par TITOINE - élève de 6ème - Collège j. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement, la vie reprendra peu à peu, nous retournerons au collège, on pourra se balader. Le sport nous manque, les amis nous manquent, la normalité nous manque. Bizarrement le collège nous manque. Manger toujours à la maison me procure une sensation inconnue... Regarder par la fenêtre fait du bien car on voit la nature. Sortir faire une petite balade donne beaucoup de courage car ne pas rendre l’air serait impossible.

  • Texte proposé par ELIOTT - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Le confinement est imposé à tous. Il est donc collectif. On comprend que nous sommes tous (toute la planète) très liés les uns aux autres. La responsabilité d’un futur favorable est donc collective (elle incombe à chacun). Il faut donc avant tout se choisir un futur favorable au bien- être de chacun sans en exclure personne. Ce futur est une direction dans laquelle on regarde et qui doit guider nos pas quotidiennement. Chacun doit œuvrer à sa manière afin de permettre d’atteindre cette direction un plus chaque jour. Cette direction doit être choisie en analysant et tirant les leçons du passé. La capacité d’anticipation, l’expérience acquise, la transmission des connaissances et l’analyse des disfonctionnement permettent de corriger les erreurs et de tendre vers un présent et un futur meilleur.

  • Texte proposé par GIULIO - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    A la fin de ce confinement je ne sais pas si j’aurais réellement envie de retourner au collège, mais j’aurais quand même envie de parler avec mes amis, de sortir en ville, de faire du skate, du rugby ...
    Finalement, j’attends plus la fin de ce confinement même, s’il n’y aura plus de grasse-matinée, de petit déjeuner à 11h, de déjeuner à 14h et de diner à 20h30.
    J’espère que ce confinement ne gâchera pas mon année de 6ème qui n’a même pas de troisième trimestre et, qu’en 5ème, je saurais ce qu’il faut malgré le confinement.
    Je pense quand même que je n’oublierais jamais ce confinement ; cette épidémie et les efforts des médecins et des autres personnels soignants. Honnêtement, je pense qu’on ne remerciera jamais assez toutes les personnes qui ont fait ces efforts surhumains, même dans le futur.

  • Texte proposé par THOMAS - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Ce que j’aimerais faire après le confinement, c’est d’abord revoir mes copains puis reprendre une vie normale et tranquille et puis retourner au collège car le confinement c’est très dur. Mais je ne pense pas que je vais pouvoir faire tout ce que je veux par des mesures de sécurité.
    Puis j’aimerais aussi reprendre mes activités sportives (jouer au foot, faire du vélo et beaucoup d’autres choses) et puis aller en vacances car on avait prévu d’aller à la mer et aussi dans un camping mais malheureusement le coronavirus nous en a empêché.

  • Texte proposé par LOUIS - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement, j’aimerais revoir mes amis et parler avec eux, jouer au foot, faire du skate, reprendre ma vie d’avant. J’aimerais aussi retourner au collège pour pouvoir travailler normalement sans avoir à aller tous les jours sur l’ENT à regarder ce que j’ai à faire, car à la fin c’est énervant !
    Malheureusement, je ne sais pas si tout pourra être comme avant car il va falloir sûrement garder les distances de sécurité encore quelque temps. Comment faire quand on sera à la cantine ou en classe pour appliquer ces mesures ?
    Merci à tout le personnel soignant pour tous leurs efforts pour guérir les personnes malades.

  • Texte proposé par NATHAN - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Le passé a été fêté,
    Le présent c’est maintenant pendant le confinement,
    Le futur sera moins sûr ?
    A l’avenir il nous faudra faire plus attention,
    Nous porterons des masques et des gants,
    Au début cela ne sera pas évident,
    Mais cela protégera les gens.

  • Texte proposé par MATTHIEU - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Je ne veux pas oublier ma vie d’avant.
    Mes amis me manquent.
    Ma vie d’avant reviendra-t-elle ?
    Retournerais-je un jour en vacances ?
    Pour combien de temps encore, dois-je oublier ma vie d’avant ?
    Et somme- nous réellement en guerre ?
    J’ai cru que le 11 mai tout redeviendrait comme avant.
    Que le 11 mai, mon futur serait comme mon passé.
    Ma mère a brisé mes rêves en me disant que mon futur ne serait pas mon passé.
    Mais, dois-je renoncer à ma vie d’avant ?
    Je suis trop jeune pour renoncer.

  • Texte proposé par ARTHUR - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement l’école ne sera plus pareille : les profs pourront s’occuper plus de chacun. Mais le problème c’est si l’on continuait les cours à la maison. Plutôt que d’être à la maison, on pourrait faire des activités au collège quand on n’a pas cours.
    Et puis aussi la vie de tous les jours sera différente, par exemple quand on croisera des gens dans la rue ou quand on voudra aller quelque part.
    Bref notre quotidien sera bouleversé !

  • Texte proposé par JULIA - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement, je pense que plus rien ne sera jamais comme avant. Les écoles seront différemment organisées (je ne sais pas comment pour l’instant), les centres commerciaux et les anniversaires, toutes ces choses ne serons plus comme avant.
    Aujourd’hui nous faisons face à une crise sanitaire, nous en sommes là aujourd’hui ! Quelle sera la prochaine crise ? Sûrement une crise écologique.
    Mais il y a une différence entre ces deux crises. Nous pouvons retourner à un état normal après un virus, mais quand la terre sera trop chaude, nous ne pourrons plus jamais retourner en arrière, plus jamais ! C’est pourquoi il faut agir aujourd’hui pour les enfants de demain.
    Je pense que jamais rien ne sera comme avant. Il est encore tant d’anticiper pour éviter la prochaine crise, qui sera certainement une crise écologique.
    Allons-nous enfin nous prendre en main et changer nos habitudes ?

  • Texte proposé par MAHAUT - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Au début du confinement, je trouvais ça bien d’avoir un peu de repos. Mais comme j’aime le collège, les cours m’ont vite manqué. Quand je n’ai rien à faire, je m’ennuie. J’ai épuisé le stock d’idées que j’avais en réserve. J’appelle souvent les amies que je peux contacter et espère en permanence que les chercheurs trouvent un antidote. La vie d’avant me manque. Jamais je n’aurais cru que sortir était si merveilleux ! Ce qui est sûr, c’est que dès que l’on pourra sortir, je ferais une grande ballade pour avaler un bon bol d’air frais.

  • Texte proposé par FLORIAN - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Maintenant que l’on a connu le confinement pendant 2 mois, nous saurons ce que cela fait d’être enfermés et de ne plus pouvoir sortir.
    Peut-être nous remettrons nous en question : notre manière de vivre, nos temps de sortie (peut-être que l’on sera impatient de terminer nos devoirs pour sortir au lieu de terminer nos devoirs pour aller sur les écrans), peut-être que l’on sera content de retourner à l’école. Toute ces questions sont à se poser.

  • Texte proposé par MAHAUT - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement, ce serait bien si les gens pensaient plus à l’environnement. Avec le COVID-19 les personnes devraient plus réfléchir à ce genre de question.
    Voici une liste des choses essentielles et urgentes à faire :
    – Consommer le moins possible d’huile de palme, car il faut de l’espace pour planter les palmiers. Les producteurs arrachent donc les arbres de la Foret d’Amazonie, la plus grande forêt du monde. Et, comme nous le savons, les arbres sont les poumons de notre planète ; sans eux nous ne pouvons plus respirer. C’est donc un véritable problème. Dans cette forêt, il y a aussi des animaux que nous chassons de leur habitat, dont des espèces en voie de disparition. Pour gérer ce gros problème, nous pouvons :
    – Arrêter d’acheter du Nutella car il y a énormément d’huile de palme dedans. (Oui je sais, c’est très bon mais on peut le remplacer par de la pâte à tartiner sans huile de palme ! Ca a exactement le même gout et c’est meilleur pour l’environnement.)
    – Acheter le moins possible d’aliments contenant du soja, également très mauvais pour la planète.
    – Acheter BIO car les pesticides tuent les insectes et polluent énormément.
    – Gaspiller moins d’énergie (eau, électricité, chauffage… etc.) car cela pollue à sa manière. Trier ses déchets (poubelle recyclée) car des objets peuvent avoir une nouvelle vie !
    Voici le minimum à faire pour polluer le moins possible avec peu de moyens. Facile et utile !!!

  • Texte proposé par CAMILLE - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement, tout le monde se pressera dehors. Mais les gens sortiront changés par ces mois enfermés chez eux. Ils auront peur d’attraper des maladies et de se retrouver à plusieurs. Ils appréhenderont d’être à nouveau enfermés. Mais ils passeront au-dessus de ces craintes pour sortir comme avant, être avec leur famille et leurs amis comme avant, travailler comme avant et enfin se serrer la main comme avant. Toutes les personnes ayant vécu le confinement seront heureuses de sortir et de retrouver leurs proches. Leurs liens se resserreront après avoir vécu deux mois sans les revoir. Le futur est semé d’obstacles et d’embuches, on ne peut donc pas le deviner. Mais après ces mois de confinement, l’idée d’un déconfinement heureux est venue à tous. Même si on aura toujours des craintes, il faudra aller de l’avant pour les surmonter et être heureux. Mais en attendant, puisque nous sommes toujours en confinement, il faut juste se soutenir moralement pour que ce futur heureux soit possible.

  • Texte proposé par MELANY - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Comment va se passer le déconfinement ? Surement pas comme si de rien n’était. On reprendra les cours en groupe, Il y aura peut-être des règles strictes. Est-ce qu’on devra porter un masque ? Peut-être oui, peut-être non. On ne pourra peut-être même pas aller à la cantine. Et si oui on devra respecter la distance d’un mètre. Et comment faire pour manger avec un masque ? Est-ce qu’il y aura enfin du savon dans les toilettes ? Toutes ces questions que l’on se pose, personne ne peut encore y répondre. Après plus d’un mois à rester chez soi ce sera difficile de reprendre le rythme. Surtout avec toutes les contraintes qui risquent d’arriver.

  • Texte proposé par THOMAS - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Le Futur
    Le futur c’est quoi ?
    Le futur c’est maintenant, plus de trois secondes
    Maintenant, c’est le passé, moins de trois secondes
    Le futur c’est ce qu’on ne peut pas prédire,
    Mais c’est ce que tu vivras demain, après-demain…
    C’est ce que tu feras dans plusieurs secondes, minutes…
    C’est quand on pourra sortir.

  • Texte proposé par NATHAN - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Pour moi, après le confinement, on pourra refaire notre vie d’avant malheureusement ce sera petit à petit car il y aura toujours un risque. En effet, on pourra retourner à l’école, ensuite on pourra aller dehors avec nos amis puis une fois que l’on aura vaincu le virus on pourra faire la fête. Si ça se trouve le 11 mai, nous retournerons à l’école, et nous reverrons nos professeurs et nos camarades !
    Bref tout ce que l’on ne pouvait pas faire pendant le confinement. On sera à nouveau libre !!!

  • Texte proposé par MAXINE - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement, le monde aura changé et les gens seront différents. Ils devront porter des masques, car le virus sera toujours là. Nous devrons donc faire attention.
    Continuerons-nous à nous serrer la main ? Les gens auront-t-ils peur ?
    Même si de toute façon, les regroupements seront toujours interdits. Les restaurants, les cinémas, les musées, tous seront fermés.
    Nous retournerons à l’école, mais cela ne sera pas pareil. Par groupe de 15, nous perdons de vue des copains. Nous continuerons à travailler de la maison.
    Les contacts entre nous seront interdits, il faudra donc continuer à faire attention.
    Manger à la cantine avec un masque, cela ne va pas être simple.
    Après les contaminations, nous pourrons arrêter de porter des masques. Nous aurons trouvé un remède. Le virus sera parti. Nous pourrons revoir notre famille et nos amis. Refaire la fête tous ensemble, visiter des musées, aller au restaurant, partir en voyage.

  • Texte proposé par OLIVIA - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Cela fait maintenant six semaines que nous sommes confinés ; enfermés comme des animaux, dans des « cages ».
    Après le confinement, Paris ne portera plus ce chapeau pollué sur la tête car Nous n’utiliserons plus les voitures à l’origine de la pollution.
    Après le covid 19, nous libérerons tous les animaux QUI étaient enfermés dans les zoos car maintenant nous comprenons mieux les effets psychologiques du confinement.
    Nous pourrons vivre en paix avec la nature et nous respecterons La faune et la flore.
    Après le confinement, les animaux ne seront plus en voie d’extinction car l’homme n’aura pas détérioré leur environnement, vu que le temps s’est figé.
    Enfin, Quand nous ouvrirons la porte de la liberté nous profiterons de chaque instant de notre vie avec la famille et les amis.

  • Texte proposé par HÉLOISE - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Quand le déconfinement arrivera je serais libre,
    Libre de revoir tous ceux que j’aime,
    Dont mes amies et mes proches.
    Je pourrai enfin sortir pour me balader,
    Sentir à nouveau l’air de dehors.
    Le confinement nous a appris quelque chose,
    C’est que, quand on reste enfermé,
    L’air de dehors nous manque.

  • Texte proposé par HANNA - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    En parlant du déconfinement,
    Parlons-nous d’un futur proche ou lointain ?
    Il n’y a pas si longtemps,
    Nous l’ignorions.
    Et en un discours, en une parole,
    Nous avons su !
    Mais que va-t-il se passer après le déconfinement ?
    Cela nous l’ignorons encore !

  • Texte proposé par CAMILLE - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Comment vivrons-nous après le 11 mai quand le confinement sera terminé ?
    Tout le monde parle du déconfinement à la télévision, les hommes politiques, les scientifiques, les médecins, les gens comme nous…
    Tout le monde a son opinion, mais en réalité, personne ne sait vraiment ce qui va se passer.
    Est-ce que je reverrai mes amis ?
    Est-ce que je pourrai voyager ?
    Est-ce que je pourrai fêter mon anniversaire avec toute ma famille ?
    Et au collège, est-ce que je serai avec mes amis si les classes sont séparées ?
    Personne ne sait aujourd’hui répondre à mes questions. J’aimerais que tout redevienne comme avant, enfin presque ! Il ne faudra pas oublier tous ceux qui ont soigné les malades, tous ceux qui ont continué à travailler malgré les risques, tous ceux qui ont perdu des proches.

  • Texte proposé par MELANY - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    La vie en ce moment...
    En ce moment, la nature reprend ses droits
    Elle devient plus belle à des endroits
    Les feuilles vertes grandissent et se multiplient
    Pendant que des gens meurent du virus
    Le monde se déplie et se plie sous la force du virus…
    J’espère qu’après le monde polluera moins pour que l’avenir soit autre, que nos voitures circuleront moins, que nos vies soient dans nos mains et celles des autres

  • Texte proposé par LENA - élève de 6ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Moi je voudrais travailler comme avant, aller dans la rue, retrouver mes amis mes proches, faire la fête, aller faire les magasins, passer du temps à me balader avec mes amis. Mais cet après ne sera plus jamais comme avant ! Car beaucoup de personnes ont perdu des êtres chers, beaucoup de monde n’a pu dire au revoir aux personnes qu’elles aimaient. Il nous faudra aussi apprendre à vivre avec ce virus.
    Va-t-il changer notre façon de faire entre nous ? D’où vient-il ? Combien de temps restera-t-il avec nous ? Seul le futur nous le dirons.

  • Texte proposé par 4eme ANONYME - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    On se pose tous des tas de questions,
    Mais aucune d’elles n’a sa réponse,
    Comment va se passer la reprise des cours ?
    Est-ce qu’on pourra partir en vacances cet été ?
    Est-ce qu’on pourra revoir nos ami(e)s ?
    Et même, est-ce qu’on pourra ressortir un jour ?
    Tout ça est très frustrant, bizarre, inhabituel.
    Mais au moins, quand on sortira il fera beau,
    Les arbres auront retrouvé leurs feuilles,
    Et ça nous redonnera le sourire.

  • Texte proposé par JULIETTE - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Le futur, cette période floue, tant attendue par la population mais où nous sommes sûrs de rien. Ce futur incertain, ce déconfinement dont nous parlons tant, comme magique mais il ne faut pas oublier que nous nous confinons pour sauver des vies et pour aider les gens faibles.
    Suite à cette épreuve, les mentalités auront changé et ce confinement restera gravé dans nos mémoires. Nous ne savons pas ce qu’il va se passer dans le futur mais une chose est sûre, nous aurons évolué mentalement et nous serons plus forts pour les épreuves à venir.

  • Texte proposé par MATTHIEU - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Futur chaotique

    Depuis un an déjà, le confinement s’est terminé. On pensait tous pouvoir reprendre nos vies comme avant mais le futur est bien plus triste. La moitié de la population mondiale est décédée soit par le virus soit par des accidents domestiques. Tous ces morts n’ont pas pu être enterrés, entourés de leur famille et sont comme partis dans l’oubli. Pendant que d’autres font la fête pour ne pas penser au lendemain, d’’autres pleurent leurs proches. Nous vivons désormais dans la peur de la pandémie. Chacun se méfie de l’autre, la cupidité a remplacé la générosité, plus de compassion ni de bonté. La criminalité a beaucoup augmenté. Le pire s’est produit, certains disent que l’apocalypse a commencé.
    Les personnes qui avaient fui leurs pays avant le confinement sont maintenant appelées « déserteurs ». On les traque comme des bêtes. Les autres les voient comme des assassins, responsables de la mort de plus de personnes car ils ont apporté le virus dans des petites villes, jusque-là épargnées.
    Au début, on prenait le confinement à la rigolade : « Ne vous inquiétez pas, le virus n’est pas plus méchant qu’une grippe ». Maintenant, on en comprend vraiment l’importance et comme nous aurions dû le respecter au lieu de faire ce qui nous plaisait ! Mais il est trop tard, nous ne sommes que de pauvres inconscients !

  • Texte proposé par ZACHARY - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Le futur proche ne pourra pas être comme avant malheureusement, comme les « checks » entre amis et bien d’autres choses. En revanche, il existe des comportements du présent qui vont rester dans le futur, comme la solidarité entre voisins ou la reconnaissance pour les personnels soignants. Au sujet de la nature, elle va être bouleversée par le déconfinement. Nos oreilles, comme les oiseaux, vont entendre de nouveau le bruit des voitures. Finalement le futur, après tout ça, ne pourra pas être comme avant.

  • Texte proposé par FLORIAN - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Dans le futur, j’aimerais bien travailler comme avant, c’est-à-dire, avoir un professeur qui nous explique le cours. Eh oui, cela me manque ! Et non, que ce soit à nous de le faire car cela devient plus complexe. En effet, il devient difficile de travailler dans ces conditions bien qu’elles soient exceptionnelles.
    Vive le retour au collège !

    Cependant, la reprise des cours ne sera plus comme avant. Le futur ne redeviendra pour l’instant jamais comme auparavant. C’est là où je me dis que j’aimerais bien que ce virus ne soit jamais apparu. Que rien n’ait changé notre avenir et par là-même, notre présent. J’apprécierais que le collège reprenne normalement, que les cours se déroulent parfaitement bien et surtout sans risque sanitaire.

    En outre, le confinement dure trop longtemps. Le temps semble s’être arrêté, il est long, très long, trop long. Le temps paraît figé au 15 mars. Ce qui est bien, c’est que je peux passer du temps avec ma famille : jouer à des jeux de société, aux jeux vidéos, lire, regarder la télévision, jouer avec mes frères et mes sœurs.
    Par contre, nous ne pouvons ni sortir pour faire du sport (chez soi, mais ce n’est pas comme d’habitude) ni voir ses amis (uniquement par téléphone, mais ce n’est pas pareil)
    Vive le déconfinement !

    De plus, il faut éviter de sortir, car il faut faire attention à la police qui contrôle et afin de ne pas attraper le virus. Mais y aura t-il une fin de cette contamination ? D’une part, le gouvernement nous a berné en disant que le virus n’était qu’une petite grippe... Mensonges, mensonges ! Alors que de nombreuses personnes sont décédées et ont été hospitalisées.
    D’autre part, tous ces ministres nous mentent et nous prennent pour des imbéciles, or, ce sont eux les idiots ! Néanmoins, le Président de la République a eu raison de fermer tous les établissements scolaires, afin de ralentir la pandémie.

    C’est pourquoi, j’aimerais retrouver ma vie d’avant : voir mes amis, ma famille, faire la fête, voyager, sortir... en somme être libre, sans contrainte et sans peur.

  • Texte proposé par THOMAS - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Quand les contaminations auront cessé ;
    Que le confinement touchera à sa fin ;
    Alors seulement le futur commencera.
    Il va bien évidemment être différent du passé que l’on connaissait en février.
    Mais il reste énormément d’incertitudes à son sujet
    Comme quand retournerons-nous à l’école ?
    Dans quelles conditions ?
    Mais il nous rendra plus fort mentalement et médicalement ;
    Tout cela pour le bien de tous.

  • Texte proposé par ARTHUR - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Après le confinement
    Après le désespoir
    Après tout cela
    Il faudra profiter de l’air
    Profiter de ses amis
    Revoir sa famille
    Profiter des longues sorties
    Oublier le confinement
    Et tout faire pour que cela ne recommence pas
    Il faudra faire attention
    Ne pas relancer une épidémie
    Ne pas refaire les mêmes erreurs
    Pour reprendre la vie comme avant

  • Texte proposé par AXEL - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Ça fait plus d’un mois que nous sommes en confinement et en ce long mois, on a eu le temps de changer nos habitudes. Le confinement arrive bientôt à son terme On pensait tous pouvoir reprendre notre vie d’avant. Mais cela sera impossible et nous en sont les seuls responsables. La plupart des gens on prit ce confinement trop à la légère : résultat-22 614 morts en France depuis le début du confinement.
    En France nous avons encore de la chance dans notre malheur, si je puis dire, car dans d’autre pays il y a tellement de morts que les gens sont enterrés les uns sur les autres comment des bêtes. Donc non il sera impossible de reprendre notre vie d’avant après une telle catastrophe.
    Par exemple en classe, nous sommes habituellement aux alentours de 3o par classe, là, nous serons 15 et nous ne reprendrons pas tous en même temps. Sans parler de la crise économique qui aura sens aucun doute des conséquences sur le travail des adultes etc …

  • Texte proposé par RAPHAELLE - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Le futur est le présent de demain,
    Il est là à portée de main.
    C’est à nous de le créer,
    De l’imaginer.
    Le futur est une version du passé,
    Mais en amélioré.
    C’est pour ne pas répéter nos erreurs,
    Qu’il ne faut pas en avoir peur.
    Il faut prendre les devants,
    Et aller de l’avant.
    Pour que rien ne soit plus pareil,
    Et que le futur nous émerveille.

  • Texte proposé par QUASSEM - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Comment reprendre une vie normale,
    Oublier ces longues semaines,
    Ne pas rester dans la tristesse,
    Faire tout pour aller de l’avant.
    Informer nos proches, éloignés.
    Nouvelle vie et nouveau départ.
    l’Entraide sera la solution
    Mettre la main à la patte
    Ecrire l’histoire pour expliquer
    Nous construirons un monde nouveau
    Terminer nous sommes libérés

  • Texte proposé par MAXIME - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Ce que nous vivons est une crise sanitaire qui a engendré une crise économique due au confinement qui était inévitable afin de freiner la propagation du virus. Après cette crise passée, les petites entreprises auront beaucoup de mal à faire repartir leur commerce et ne pas faire faillite. Les scientifiques prévoient une deuxième vague de contamination du COVID-19, ce ne sont peut-être que des suppositions, mais cela pourrait bien arriver si lors de la reprise des cours, de la réouverture des restaurants, les gens contents de sortir ne respectent plus les gestes barrières. Cela engendrera donc une deuxième vague de contamination. Nous serons certes plus préparés mais il y aura un deuxième confinement et encore beaucoup de morts. Nous ne vivrons donc plus comme avant.

  • Texte proposé par ANISSA - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    De nombreuses personnes espèrent un retour à la vie normale immédiat ... La vie reprendra son cours progressivement et de nombreuses mesures resteront en place pour protéger tout le monde. Il n’y a aucune certitude, que ce soit au niveau de la population ou même du gouvernement.
    On imagine pourtant que l’école, les transports, le commerce(etc.) resteront fortement impactés. Les mesures de distanciation ne permettront pas à un retour à la normale immédiat. Si personne ne respecte les conditions, nous risquerions de retourner en confinement rapidement devant une nouvelle vague de l’épidémie.

  • Texte proposé par MARIA - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Est-ce-que on arrivera à reprendre après avoir eu la peur de notre vie ?
    Après avoir perdu tant de personne, d’espoir, et d’envie
    Après avoir changé notre mode de vie
    Si drastiquement, l’avoir amélioré
    Empiré.
    Est-ce-que on va être aussi clame et détendu qu’avant ? Est-ce que la prévention va se transformer en paranoïa ? On va nous encaisser en petits groupe d’élèves pour éviter la future contamination. Mais s’il n’y a pas d’élèves ? Et si on a perdu tous nos amis et qu’on ne le savait même pas ? Comment on pourra continuer à vivre si on a perdu un de nos piliers ?
    Est-ce-que on sera noyé dans le travail et le désespoir ? Le monde s’est arrêté pendant ces mois, est-ce que on pourra le redémarrer sans conséquences ?
    Mais pendant ce temps on devra se masquer, s’éloigner, se méfier et se cacher, pour être sûr d’exterminer ce cauchemar qui aura duré plus de trois mois.

  • Texte proposé par NICOLAS - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Le futur est le futur.
    Le passé est le passé.
    Ce qu’on sait c’est que probablement plus rien ne sera comme avant,
    On peut toujours espérer mais ça ne changera rien.
    La vie reprendra son court, certes.
    Mais peut-on espérer que rien ne changera ?
    Je ne pense pas.
    Qu’on le veuille ou non le coronavirus a marqué notre existence pour un certain temps.

  • Texte proposé par FÉLIX - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Voilà plus d’un an que le corona virus a disparu, mais ça n’a pas été sans conséquences. Le covid 19 devenait de plus en plus contagieux et le nombre de morts augmentait chaque jour, à tel point que presque toute la population était contaminée.
    Un jour, le remède du virus a été découvert, mais ce qu’on ne savait pas, c’est qu’il a été trouvé par une entreprise cherchant à s’enrichir et à escroquer le plus de gens possibles. Vous l’aurez compris, ils ont vendu ce remède contre une grosse somme d’argent !
    Ca a eu des conséquences désastreuses partout sur la planète. Les personnes les plus pauvres qui ne pouvaient pas acheter ce remède sont mortes soit près de la moitié ! Il ne reste plus qu’un monde dévasté où une immense entreprise contrôle tout, et où il ne reste plus que les riches.

  • Texte proposé par MANON - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    En raison de la pandémie du covid19, notre futur ne pourra plus être comme avant. Nous avons été confinés, certains d’entre nous sont tombés malades et ont même péris des suites de la maladie. Tout cela laisse des traces sur notre propre personne, notre relation avec l’autre, notre économie, notre environnement. Nos habitudes de vie ne seront plus les mêmes. Cela concerne notre mode de vie, notre façon de communiquer et de travailler. Les transports en commun seront délaissés au profit du vélo ou de la marche à pied. Les destinations moins lointaines pour nos voyages seront privilégiées, les biens et produits fabriqués localement seront favorisés. Notre façon de travailler sera différente car nous aurons gardé les nouvelles habitudes prises durant le confinement, c’est-à-dire utiliser les nouvelles technologies pour pouvoir travailler à distance. Dans le futur, nous devrons davantage travailler car l’économie aura été durement touchée par la pandémie. Les faillites d’entreprise, le chômage et la pauvreté auront augmenté. Notre état d’esprit sera différent. Nous garderons nos peurs et nos craintes ressentis durant le confinement. Le virus, ou bien un autre virus, reviendra-t-il ? Allons-nous tomber de nouveau malade ? Notre façon de penser sera différente. Les choses simples de la vie comme se balader dans les rues ensoleillées de Paris, prendre un café sur une terrasse, partager un repas entre amis, seront véritablement appréciées et nous prendrons conscience des vraies valeurs de la vie. Enfin, notre façon d’être aura subit une influence. Nous respecterons davantage certains gestes comme tousser dans notre coude, se laver les mains.

  • Texte proposé par VIRGILE - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    L’Après.
    Après tous ces bouleversements.
    Après cette période de confinement.
    Dans l’après, il y aura des séquelles.
    Des choses que l’on ne pourra pas oublier.
    La disparition d’un parent, d’un ami, d’un proche.
    Ces évènements feront un futur qui ne sera pas comme le passé.
    La crainte d’une nouvelle vague de contamination,
    La peur de transmettre ce virus,
    La hantise de contaminer ces proches.
    Le futur sera alimenté par la peur de voir ce virus reprendre de l’ampleur,
    De devoirs à nouveau se confiner, attendre...

  • Texte proposé par LÉNA - élève de 4ème - Collège J. Adam, Gif-sur-Yvette

    Moi je voudrais travailler comme avant, aller dans la rue, retrouver mes amis mes proches, faire la fête, aller faire les magasins, passer du temps à me balader avec mes amis. Mais cet après ne sera plus jamais comme avant ! Car beaucoup de personnes ont perdu des êtres chers, beaucoup de monde n’a pu dire au revoir aux personnes qu’elles aimaient. Il nous faudra aussi apprendre à vivre avec ce virus.
    Va-t-il changer notre façon de faire entre nous ? D’où vient-il ? Combien de temps restera-t-il avec nous ? Seul le futur nous le dirons.

  • Texte proposé par Fabio,

    Au début du confinement, je ne pensais pas que ça allait être aussi grave. Je pensais que les scientifiques allaient trouver un vaccin rapidement. Mais quand ils ont dit qu’ils essayeraient de l’avoir pour 2021, il pourrait se passer plein de choses graves... Après le discours du Président, je me suis dit que ça devenait vraiment très grave.

    Certaines personnes ont du mal à rester loin de leurs familles, de leurs amis(e), (…) donc pour ces personnes c’est très difficile le confinement même s’ils peuvent se parler en face time. Le virus a pris tellement d’ampleur en si peu de temps que des gens continuent de sortir donc le Virus continue sa transmission.
    Maintenant on voit la solidarité entre les personnes. Juste un seul message peut redonner le sourire, la joie, (…) C’est juste un message qui fait durer le bonheur durant le confinement et qui rend la joie de vivre !

    Texte proposé par Fabio

    Le confinement a renforcé certaines de nos émotions.
    Nous nous sommes retrouvés seuls avec notre famille toute la journée. Mais la technologie a tellement augmenté que nous pouvons parler à nos amis en les voyant à travers un écran. Nous avons dû nous adapter et développer notre capacité à étudier par nous-mêmes. Les professeurs nous donnent les consignes, même si cela ne remplace pas les explications fournies en classe.
    Je me sens serein parce que la majorité des personnes respecte le confinement et les gestes barrières. Je pense que le monde se rend compte de sa vulnérabilité et de sa fragilité face au virus. Malgré les progrès incessants de la science et de la technologie je suis inquiet face à l’avenir. Nous ne sommes à l’abri de rien. Cependant il m’arrive d’être heureux car les discours du gouvernement me rassurent, je passe plus de temps avec ma famille, on fait des jeux ensemble, je cuisine un peu avec mon père.
    J’espère que la solidarité entre les personnes va continuer quand nous allons retrouver « une vie normale ».

  • Texte proposé par Adel - BTS - Lycée Jean Vilar, Plaisir

    Que feras-tu demain ?

    Pendant cette période difficile
    Ne plus voir personne est horrible
    Surtout si l’on est enfermé
    Et abusé

    Enfermé par les murs
    Enfermé par le silence
    Enfermé par la peur de parler
    Enfermé et renfermé sur soi-même

    C’est pourquoi
    Avec désarroi
    On se tait, on se croit seul
    Sans lumière au bout du tunnel

    Que feras-tu demain quand tout sera fini ?
    Pour un de ces métiers que personne n’applaudit
    Prendras-tu ta voiture, ton métro, ton avion ?
    Et regarderas-tu tes mains et ton gel,
    En te disant « mon dieu qu’ai-je fait de mon temps »

    Quand ce sera fini, iras-tu voir les gens ?
    Je ne sais pas encore ce que moi je ferai,
    Je ne sais pas encore ce que moi je serai,
    Le même ou différent, peut-être un peu plus sage.

  • Texte proposé par Kevin B. - BTS - Lycée Jean Vilar, Plaisir

    Under Water

    Les jours passent et se ressemblent,
    Certains trépassent, les autres le ressentent.

    Pas envie d’aller travailler.
    Le temps passe, une vie de confiné.

    Quotidiennement, sans un bruit,
    Les combattants de l’épidémie.

    Les beaux feuillages du printemps
    Les tristes images qu’ont nos enfants.

    Être Iwazaru jusqu’au bout du masque.
    Être Humain fou fantasque.

    L’accalmie de nos cœurs à 20h,
    Comme un cri "under water".

  • Texte proposé par Théo, élève de BTS - Lycée Jean Vilar, Plaisir

    Nous vivons actuellement une période inédite, historique. Le covid-19 a complètement bouleversé notre quotidien ; il s’est emparé de notre train de vie ; il est maintenant omniprésent dans les pensées de chacun. En effet, depuis plusieurs mois, une pandémie s’est propagée très rapidement et a obligé de nombreux pays dans le monde à prendre des mesures nouvelles, comme le confinement. Alors que nous commençons à avoir des espoirs de déconfinement, nous ne savons pas exactement comment cela va se passer pendant cette période à venir. Mais surtout, est-ce que tout redeviendra réellement comme avant ? Quels seront les impacts sur les gouvernements, sur les populations en général ? Quels seront les éventuels changements ?
    Les gouvernements du monde entier ont pris des mesures historiques pour essayer au mieux de faire face à la pandémie de covid-19. Certains ont compris qu’il fallait changer d’organisation afin de mieux réagir, être mieux « armé » et équipé contre un évènement similaire à l’avenir. En France, par exemple, les dirigeants se sont rendus compte que la France était trop dépendante de l’importation de certains matériaux. L’exemple, dont on a le plus entendu parler sont les masque FFP2. La France, comme beaucoup d’autres pays vont avoir des lois et des solutions plus claires afin d’être en mesure de pouvoir affronter une crise similaire, comme pour l’activité économique, avec les aides pour certains corps de métier, pour certaines entreprises. Certains pays avaient aussi pensé qu’une immunité générale serait la meilleure solution, puis pour certains, ils se sont ravisés. Tout cela s’est passé si vite, que prendre des décisions historiques était extrêmement difficile. Nous pouvons donc espérer qu’à l’avenir les gouvernements y seront mieux préparés.
    Les habitudes des populations vont aussi changer. Celles d’hier ne serons probablement pas celles de demain. Beaucoup ne se voient plus serrer les mains et faire la bise autant qu’auparavant, voire plus du tout pour certains. D’autres ne veulent rien changer et reprendre une vie à l’identique, mais même ces personnes-là auront dans un coin de leur esprit ce qui se passe aujourd’hui. Certaines personnes préféreront rester très prudentes et porter des masques, des gants, se laver très souvent les mains … Mais au-delà de la volonté de chacun, certaines règles pourront être imposées, ou les mœurs auront peut-être changé, à échelle nationale, internationale. Certains pays asiatiques avaient déjà des habitudes de prévention comme le port du masque. Ce qu’il faudra surtout garder à l’esprit c’est que si nous ne faisons pas attention, des mesures similaires pourraient se reproduire très rapidement. Il nous faut changer nos habitudes mais cela n’est pas simple dans notre monde moderne.
    Nous espérons tous que cela ne durera pas très longtemps, mais nous voulons aussi que le plus de vies possibles soient sauvées. Nous sommes donc pour la majorité dans l’attente d’un retour à la normale, mais nous savons aussi que plus rien ne sera jamais comme avant. Pour la vie de chacun comme pour le fonctionnement général des pays, beaucoup de choses vont changer. Mais le plus important est-il vraiment le retour à nos habitudes ou d’éviter qu’une situation similaire se répète à l’avenir ?

  • Texte proposé par Telly, élève de BTS - Lycée Jean Vilar, Plaisir

    Merci
    Aujourd’hui, tous ont décidé d’applaudir les soignants. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J’ai entendu cette consigne au journal : « applaudissez les soignants ». Tous les soirs 20 heures. Soutenez-les. C’était peut-être hier. C’est une bien belle initiative de féliciter ceux qui se battent en première ligne contre le virus.
    Une fois mon service achevé, je m’attarde sur le balcon de la salle de pause pour une poignée de minutes. Comme chaque matin, je contemple le réveil de Paris. Comme chaque matin ? Pas exactement. Si le soleil éclaire toujours la ville lumière, elle peine à s’allumer. Elle peine à s’allumer, oui, en revanche, elle parvient tout de même à s’animer.
    Il semblerait que les travailleurs ont troqué leurs costumes cravate contre des ensembles survêtements, qu’ils ont échangé leurs tickets de métro contre une attestation de déplacement, qu’ils ont remplacé leur bonne fois contre une âme de sportif flambant neuve. Je peine à comprendre comment les mêmes personnes peuvent le soir applaudir notre travail, et, le détruire le matin qui suit. J’ai une colère envers ces personnes qui cultivent le virus en prétextant « avoir besoin de prendre l’air ». Allez expliquer cela à une personne en détresse respiratoire !
    J’étais si plongé dans mes pensées que je ne me suis même pas vu emprunter le chemin du retour, je n’ai encore moins senti mon esprit sombrer dans un profond sommeil, bercé par une creuse rame de métro. Ah, fichue fatigue !

    C’est péniblement que les applaudissements du voisinage m’extirpent de mes rêves. Déjà 20 heures, il faut revenir à la réalité et vite. De mon lit, je saute dans le hall de mon immeuble pour attaquer une nouvelle soirée de travail. C’est alors que je croise ma tendre voisine « Les gens comme vous méritent une récompense, je suis sortie spécialement pour vous acheter ces fleurs ».
    Cette attention me touche, merci beaucoup, mais non, merci

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